Le syndrome de l’imposteur, c’est cette petite voix dans ta tête qui te rappelle toujours au pire moment que tu n’es « pas assez compétente » : elle t’empêche d’oser te lancer dans la carrière de tes rêves, de postuler à ce job qui te fait envie, de demander une augmentation… Et pire encore : quand tu réussis, cette petite voix te faire croire que c’est par hasard, que les gens se méprennent sur ta valeur, et qu’ils vont bientôt s’apercevoir que tu es une imposture !
Tu veux faire taire cette petite voix qui te dévalorise et te pousse à l’auto-sabotage ? Essaie ces 3 clés :
Intégrer la vision objective des regards extérieurs : Oser demander un retour sur ton travail
La différence entre se sentir une imposture ou une professionnelle qualifiée réside souvent dans le simple fait d’arriver à se voir avec d’autres yeux que les tiens. Mais c’est bien ça le problème ! Quand tu as le syndrome de l’imposteur, tu as envie de tout sauf d’un retour sur ton travail. En effet, tu es certaine que ce sera un bilan négatif, conforme à ce que ta petite voix dévalorisante te fait croire.
Tu sais quoi ? Ce sera peut-être le cas : ça arrive de ne pas faire les choses parfaitement. Cela s’appelle être humaine. Cela s’appelle aussi apprendre. Ton challenge est d’arriver à dédramatiser la critique, en cessant de la prendre personnellement et de la voir comme un sceau définitif sur ta valeur professionnelle. Les limites de tes réalisations sur un travail donné ne disent rien de toi ni de ce que tu pourras faire par la suite. Il s’agit juste d’une photographie à l’instant T du chemin qu’il te reste à parcourir pour faire les choses parfaitement. Rien de dramatique donc, et de plus, il y a peu de chances que cela se passe comme ça : le scénario que je t’ai décrit était le pire des cas.
Il y a en réalité 99 chances sur 100 que tu obtiennes un retour positif. Evidemment, ton syndrome de l’imposteur te fera croire que la personne qui te fait des compliments veut juste te rassurer ou qu’elle a été la dupe de ton imposture. Mais plus tu demanderas ce genre de retours, plus tu comprendras qu’il est peu probable que tous les gens qui te complimentent soient dupes ou insincères. Tu finiras par apprendre à te voir à travers leurs yeux.
Crée-toi un dossier « Je déchire »
De retour positif en retour positif, de succès en succès, tu vas finir par cumuler des preuves de ton immense valeur. C’est exactement ce qu’il te faut : des preuves objectives et tangibles de ton talent et de tes réussites.
Tu vas faire un dossier, dans ton ordinateur ou dans un joli cahier soigneusement choisi et toujours à portée de main ( de nombreuses personnes trouvent plus efficaces de voir quelque chose de concret : boîte remplie de souvenirs, cahier, album…), dans lequel tu vas ranger tout ce qui témoigne concrètement de ta valeur, comme des diplômes, des mails de remerciement de clients, des avis positifs que tu auras imprimés, des notes que tu auras prises après un moment de réussite, comme dans un journal intime de bons souvenirs.
Ces preuves objectives sont ce que tu dois te remettre sous les yeux à chaque fois que la petite voix autocritique commence à te raconter son éternelle histoire, selon laquelle « tu es nulle » et que « tu ne vas pas y arriver« . Quand elle commence à faire des siennes, montre-lui la réalité afin de lui rappeler qu’elle n’est qu’un tissu de scénarios catastrophes imaginaires : en vrai, tu déchires.
Arrête de te brader
Le syndrome de l’imposteur se manifeste concrètement quand tu dois négocier un salaire ou une augmentation. Tu doutes de ta valeur, tu vas donc avoir du mal à demander à être payée ce que tu vaux vraiment.
Mais le problème n’est pas seulement que tu perds un argent que tu mérites : quand tu te brades, c’est une façon de te dire à toi-même et aux autres autour de toi que tu ne vaux pas grand-chose. C’est donc une façon de renforcer tes croyances limitantes mais aussi de faire croire aux autres que tu as une bonne raison de te sous-estimer. Tu t’enfermes ainsi toute seule dans ton propre piège qui t’empêche de progresser.
Je te propose un exercice : commence à réfléchir aux raisons qui justifieraient que tu sois payée davantage (fais-toi aider par quelqu’un qui te voit objectivement !), écris-les, et fixe-toi une date pour oser demander un rendez-vous pour renégocier ta paye. Et si on te refuse cette augmentation ? Cela ne veut pas forcément dire que tu ne la méritais pas, mais qu’on ne peut ou ne veut pas te l’accorder : rien à voir avec toi, tout à voir avec de simples questions financières.
Tu n’es pas seule : la plupart des gens compétents ont le syndrome de l’imposteur
Des études prouvent même que ce syndrome est largement plus répandu parmi les personnes les plus qualifiées. Comment est-ce possible ? C’est tout simple : plus tu apprends, plus tu te rends compte de tout ce que tu ne sais pas. Et qu’est ce qui t’a motivée à apprendre et à progresser jusque-là ? Ta conscience de ne pas savoir assez. La compétence et le doute sur sa compétence sont donc intimement liés. Le syndrome de l’imposteur est donc quasiment un signe que tu es tout sauf une imposture !
Mon conseil est de créer un groupe de personnes ayant le même syndrome que toi : coachez-vous, partagez vos clés, prenez le temps de vous dire comment vous vous voyez les uns les autres. Pourquoi est-ce efficace :
On est souvent plus douées pour aider les autres que pour s’aider soi-même, surtout en ce qui concerne le syndrome de l’imposteur. En créant un groupe, tu vas aider et recevoir de l’aide.
Tu es en compagnie de personnes qui te comprennent vraiment, tu peux confier tes doutes sans crainte.
Tu vas te rendre compte que le syndrome de l’imposteur n’est vraiment fondé sur rien, en constatant que la majeure partie ou toutes les personnes de ton groupe sont géniales : il y a donc de fortes chances que tu le sois aussi…
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Le Pire Ennemi de Ta Carrière, c’est TOI ! – 4 Clés Pour en Finir avec Ton Syndrome de L’Imposteur
Le syndrome de l’imposteur, c’est cette petite voix dans ta tête qui te rappelle toujours au pire moment que tu n’es « pas assez compétente » : elle t’empêche d’oser te lancer dans la carrière de tes rêves, de postuler à ce job qui te fait envie, de demander une augmentation… Et pire encore : quand tu réussis, cette petite voix te faire croire que c’est par hasard, que les gens se méprennent sur ta valeur, et qu’ils vont bientôt s’apercevoir que tu es une imposture !
Tu veux faire taire cette petite voix qui te dévalorise et te pousse à l’auto-sabotage ? Essaie ces 3 clés :
Intégrer la vision objective des regards extérieurs : Oser demander un retour sur ton travail
La différence entre se sentir une imposture ou une professionnelle qualifiée réside souvent dans le simple fait d’arriver à se voir avec d’autres yeux que les tiens. Mais c’est bien ça le problème ! Quand tu as le syndrome de l’imposteur, tu as envie de tout sauf d’un retour sur ton travail. En effet, tu es certaine que ce sera un bilan négatif, conforme à ce que ta petite voix dévalorisante te fait croire.
Tu sais quoi ? Ce sera peut-être le cas : ça arrive de ne pas faire les choses parfaitement. Cela s’appelle être humaine. Cela s’appelle aussi apprendre. Ton challenge est d’arriver à dédramatiser la critique, en cessant de la prendre personnellement et de la voir comme un sceau définitif sur ta valeur professionnelle. Les limites de tes réalisations sur un travail donné ne disent rien de toi ni de ce que tu pourras faire par la suite. Il s’agit juste d’une photographie à l’instant T du chemin qu’il te reste à parcourir pour faire les choses parfaitement. Rien de dramatique donc, et de plus, il y a peu de chances que cela se passe comme ça : le scénario que je t’ai décrit était le pire des cas.
Il y a en réalité 99 chances sur 100 que tu obtiennes un retour positif. Evidemment, ton syndrome de l’imposteur te fera croire que la personne qui te fait des compliments veut juste te rassurer ou qu’elle a été la dupe de ton imposture. Mais plus tu demanderas ce genre de retours, plus tu comprendras qu’il est peu probable que tous les gens qui te complimentent soient dupes ou insincères. Tu finiras par apprendre à te voir à travers leurs yeux.
Crée-toi un dossier « Je déchire »
De retour positif en retour positif, de succès en succès, tu vas finir par cumuler des preuves de ton immense valeur. C’est exactement ce qu’il te faut : des preuves objectives et tangibles de ton talent et de tes réussites.
Tu vas faire un dossier, dans ton ordinateur ou dans un joli cahier soigneusement choisi et toujours à portée de main ( de nombreuses personnes trouvent plus efficaces de voir quelque chose de concret : boîte remplie de souvenirs, cahier, album…), dans lequel tu vas ranger tout ce qui témoigne concrètement de ta valeur, comme des diplômes, des mails de remerciement de clients, des avis positifs que tu auras imprimés, des notes que tu auras prises après un moment de réussite, comme dans un journal intime de bons souvenirs.
Ces preuves objectives sont ce que tu dois te remettre sous les yeux à chaque fois que la petite voix autocritique commence à te raconter son éternelle histoire, selon laquelle « tu es nulle » et que « tu ne vas pas y arriver« . Quand elle commence à faire des siennes, montre-lui la réalité afin de lui rappeler qu’elle n’est qu’un tissu de scénarios catastrophes imaginaires : en vrai, tu déchires.
Arrête de te brader
Le syndrome de l’imposteur se manifeste concrètement quand tu dois négocier un salaire ou une augmentation. Tu doutes de ta valeur, tu vas donc avoir du mal à demander à être payée ce que tu vaux vraiment.
Mais le problème n’est pas seulement que tu perds un argent que tu mérites : quand tu te brades, c’est une façon de te dire à toi-même et aux autres autour de toi que tu ne vaux pas grand-chose. C’est donc une façon de renforcer tes croyances limitantes mais aussi de faire croire aux autres que tu as une bonne raison de te sous-estimer. Tu t’enfermes ainsi toute seule dans ton propre piège qui t’empêche de progresser.
Je te propose un exercice : commence à réfléchir aux raisons qui justifieraient que tu sois payée davantage (fais-toi aider par quelqu’un qui te voit objectivement !), écris-les, et fixe-toi une date pour oser demander un rendez-vous pour renégocier ta paye. Et si on te refuse cette augmentation ? Cela ne veut pas forcément dire que tu ne la méritais pas, mais qu’on ne peut ou ne veut pas te l’accorder : rien à voir avec toi, tout à voir avec de simples questions financières.
Tu n’es pas seule : la plupart des gens compétents ont le syndrome de l’imposteur
Des études prouvent même que ce syndrome est largement plus répandu parmi les personnes les plus qualifiées. Comment est-ce possible ? C’est tout simple : plus tu apprends, plus tu te rends compte de tout ce que tu ne sais pas. Et qu’est ce qui t’a motivée à apprendre et à progresser jusque-là ? Ta conscience de ne pas savoir assez. La compétence et le doute sur sa compétence sont donc intimement liés. Le syndrome de l’imposteur est donc quasiment un signe que tu es tout sauf une imposture !
Mon conseil est de créer un groupe de personnes ayant le même syndrome que toi : coachez-vous, partagez vos clés, prenez le temps de vous dire comment vous vous voyez les uns les autres. Pourquoi est-ce efficace :
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